Le chemin du paradis.
Je sens que je vais être un peu long en expliquant ma dilection pour ce titre allemand, écrit par un compositeur juif allemand de grand renom, Werner Richard Heymann, émigré aux États-Unis en 1933 pour des raisons qu’il est aisé de comprendre et qui a également écrit une rengaine charmante, beaucoup plus connue en France, l’immortel Avoir un bon copain (c’est bien c’qu’il y a de meilleur au monde). Je vais être un peu long et ne vais sûrement intéresser personne, mais nul n’est obligé de me lire. Et puis ça m’amuse d’exposer (et de me raconter) comment j’ai pu m’attacher à cette chanson d’avant-guerre.