Ne méritaient pas de survivre.
Le meilleur du Dvd que je viens de regarder est ce qu’on appelle la face 2, celle qui tente d’expliquer, à grands coups d’interventions des protagonistes principaux, comment le film a eu la grâce d’être présenté aux spectateurs. Mal conçu, mal écrit, mal imaginé, il a bénéficié toutefois de l’adulation ressentie par les professionnels de la profession (les mecs qui colonisent Fémis et Cinémathèque) parce que le réalisateur, Leos Carax avait déjà réalisé deux trucs embrouillés Boy Meets Girl (1984) et Mauvais sang en 1986, qui ne m’ont pas semblé, jadis, avoir de quoi les commenter positivement. Il y a des cinéastes qui sont empourprés d’emblée par l’adulation médiatique et la tendresse des médias du Camp du Bien. (suite…)