Quand passent les faisans.
Il paraît que le livre du même nom dont est adapté le film n’est pas sans qualités. Ne l’ayant pas lu et n’ayant aucune intention de le lire, je veux bien croire ceux qui lui ont trouvé du suc. Comme il est, paraît-il, retranscrit avec une grande fidélité par Albert Dupontel, il n’est pas impossible de penser que ce qui fonctionnait avec maîtrise et talent dans les pages du bouquin perd, retranscrit sur l’écran, vraisemblance et pertinence et rejoint les funambulesques arabesques du peu regretté (je parle pour moi) Sébastien Japrisot. (suite…)